Après deux jours de festival portés sur le thème du “care”, les participant·e·s ont eu la chance de participer à diverses pratiques artistiques et à des conférences plus qu’intéressantes. De mon côté, j’ai eu la chance d’assister à une bonne partie des activités, c’est pourquoi je vous propose ce retour personnel à l’écrit.
Jeudi 16
14h
Le festival a été inauguré par l’atelier “Mouvement” mené par Ugo Cajon. Les participant·e·s se sont déplacé·e·s dans l’espace sous les consignes de l’animateur et d’un fond musical là pour donner le rythme.

Malgré un début d’atelier un peu timide (il faut dire que ça a pris un peu de temps pour que chacun·e soit à l’aise), on a ressenti une vraie alchimie se créer. À la fin, tout le monde en sort avec le sourire et ça promet de belles choses pour la suite du festival !
18h
C’est l’heure de la première conférence du festival. Après un accueil “thé” chaleureux, nous nous sommes installé·e·s dans l’amphithéâtre du Cleff pour un échange qui nous a permis de mieux définir ce qu’était le “care” et comment l’incarner en société.

Pour ma part, je n’ai pas pu assister à l’entièreté de la conférence, mais on en a appris plus sur ce sujet dès le lendemain avec la prochaine conférence…
Vendredi 17
10h
Le matin, c’était atelier de dessin mené par Jennifer Tshituka Elameji ! Les étudiant·e·s ont pu réaliser un portrait de leur binôme dans le cadre très chaleureux de la Maison Basque de Bordeaux.
14h
C’est l’heure de la deuxième conférence ! A l’allure très intimiste dans une salle au premier étage de la Maison Basque de Bordeaux, ce sont Elea et Anaëlle, deux étudiantes du Master qui ont animé l’échange. A leurs côtés, trois techniciennes dans les secteurs de l’événementiel et de l’audiovisuel.

La discussion était TRÈS intéressante, 1h30 qui est passée très vite. Pour ma part, j’ai été touché par l’ensemble des témoignages des trois intervenantes et ça m’a permis d’en apprendre plus sur les engagements féministes et comment les incarner, par exemple, si on est amené à gérer des équipes, faire des recrutements…
20h
Je suis arrivé un peu tard à la soirée de clôture, mais le peu auquel j’ai assisté m’a franchement convaincu. J’ai pu assister à la quasi-intégralité du set de DJ Koyla, et de la même manière qu’elle avait su régaler les campeurs et campeuses du Garorock l’an passé, elle a mis une super ambiance à la Mac 3 du Space Campus.

En tout cas, bravo à tous les organisatrices et organisateurs et hâte d’être à la prochaine édition en 2026 !
Écrit par Benoît Retail